Souvent je regarde cette lumière éparpillée sur la terre bretonne Souvent un vide lourd encombre ma vie J’aime cette église de village revêtue d’une mousse fleurie Je viens jusque vers vous chère Bertie et je traine une ombre derrière moi J’aime plus que tout ce parfum de café et le tendre regard de votre chat Je suis là près de vous Ecoutez…les cloches de votre village éclatent Les vagues doucement clapotent Je suis venue vous lire des poèmes m’imprégner de votre lumière et vivre ce bonheur hors du temps Internet vous permettra de découvrir mon amie Bertie Cauvin. |
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