Autour de l’arbre immobile l’ombre qui tourne dessine sur le sol le mouvement du jour. C’est l’amorce d’un cercle parfait et tous les cercles se ressemblent mais toutes les feuilles sont différentes. Jean Tardieu « Conifère 2 » de Hugo Estournet
Autour de l’arbre immobile l’ombre qui tourne dessine sur le sol le mouvement du jour. C’est l’amorce d’un cercle parfait et tous les cercles se ressemblent mais toutes les feuilles sont différentes. Jean Tardieu « Conifère 2 » de Hugo Estournet