Le blog de Jacqueline Peker : littérature, homéopathie, animaux, musique

Calliope au service de la musique.

Non! toutes les maisons de disque ne se ressemblent pas. Mon ami,
Jacques Le Calvé, qui, depuis des années, dirige Calliope, aime la musique
et sait la faire aimer aux autres. Tout ce qu’il propose mérite d’être écouté.
Allez sur le site : www.calliope.tm.fr…ou demandez-lui son catalogue…et
laissez-vous tenter.
C’est Jacques qui m’a fait découvrir le prestigieux Quatuor Talich que les
spécialistes considèrent comme l’une des meilleures formations mondiales
du genre. Le 6 novembre ce Quatuor Talich était à l’affiche du Théâtre des
Bouffes du Nord. J’ai connu là deux heures de vrai bonheur partagé par un
public qui n’a pas ménagé ses applaudissements. Mozart, Chostakovich,
Mendelssohn…un choix qui active en chacun de nous cet amour impérieux
pour la musique de chambre. Découvrez sur le catalogue de Calliope toutes
les autres oeuvres interprétées par ce quatuor et tout particulièrement
l’ Américain op.96 de Dvorak. Pourquoi donc refuser le rêve qui
accompagne parfois la musique?
Merci Jacques. Tu es mon ami et je souhaite que tous
ceux que j’aime te connaissent.

3 commentaires

    • Bruno sur 28 janvier 2018 à 15:49

    J’ai découvert aussi les 2 sextuors de Brahms par le Quatuor Talich + 1 alto + 1 violoncelle (2006, chez Calliope) : tout simplement magnifique !
    bo.80

    • François MAIREY sur 1 janvier 2008 à 22:47

    Je ne fréquente en général jamais les blogs (et n’en ai pas).
    J’ai fait une excption pour celui-ci et j’ai voulu regarder la rubrique « musiique » ; tombant sur une pochette d’un disque du quatuor Talich, cela m’a rappelé que nous avons nommé feu notre chat bien aimé, « Dumky » ,par référence à une danse bohémienne la « Dumka » qui a donné son nom à un quatuor éponyme (de notre chat) de Dvorak.

    Et puisque l’on parle de musique, je voudrais rappeler une citation que j’ai trouvé dans un texte de Franz Kafka, un de mes auteurs favoris, « la musique est la seule chose qui peut donner la nostalgie du bonheur ».

    François Mairey (alias franz josef comme m’appelait une tante par référence à deux de mes cinq prénoms).

    • Hugo sur 15 novembre 2006 à 21:04

    Merci de m’avoir fait partager cette soirée extraordinaire aux Bouffes du Nord.

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