Ce poème est pour toi Jean-Jacques, toi qui aimes le Japon et qui m’a appris à l’aimer. Ils avancent sur la terre déchirée. L’enfant découvre la Vie et le vieillard bouscule la Mort. Le vent accroche leurs vêtements déchirés. Les bourgeons déjà gémissent au fond des rivières alors que les cerisiers laissent choir leurs pétales. […]